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#Actualités du secteur
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Règlement du Conseil de l'UE sur l'utilisation des eaux urbaines résiduaires pour l'irrigation des cultures
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Le Conseil de l'UE a adopté un nouveau règlement qui permettra d'utiliser les eaux urbaines résiduaires traitées pour l'irrigation agricole.
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Le règlement a été adopté par le Conseil aujourd'hui, mardi 7 avril, dans le cadre des mesures d'atténuation du changement climatique.
"L'UE prend de nouvelles mesures pour réduire le risque de pénurie d'eau pour l'irrigation des cultures. Le Conseil a adopté aujourd'hui, par procédure écrite, un règlement qui facilitera l'utilisation des eaux urbaines résiduaires traitées [eaux récupérées] pour l'irrigation agricole", selon une déclaration du Conseil.
Ces règles aideront l'Europe à s'adapter aux conséquences du changement climatique. Le règlement, qui s'inscrit pleinement dans le cadre de l'"économie circulaire", améliorera la disponibilité de l'eau et encouragera son utilisation efficace.
"Garantir la disponibilité d'une quantité d'eau suffisante pour l'irrigation des champs, en particulier pendant les canicules et les sécheresses graves, peut contribuer à prévenir les pertes de récoltes et les pénuries alimentaires", ajoute la déclaration.
Toutefois, le règlement stipule que les États membres peuvent décider qu'il n'est pas approprié d'utiliser l'eau recyclée pour l'irrigation agricole sur leur territoire (ou des parties de celui-ci) en raison des conditions géographiques et climatiques.
Le règlement devra maintenant être adopté par le Parlement européen.
Retard dans l'action de l'UE
Dans d'autres actualités liées à l'UE, l'absence de réaction concernant les soutiens au secteur agroalimentaire européen a été qualifiée d'"inconcevable" par l'Association irlandaise des fournisseurs de lait de crémerie (ICMSA).
Critiquant la réponse de l'UE jusqu'à présent, le président du ICMSA, Pat McCormack, a déclaré que tout retard ou réponse fragmentaire "met en danger la sécurité alimentaire de l'UE et l'avenir même du secteur agroalimentaire".
M. McCormack a affirmé que tout retard dans l'action collective "risquait de provoquer une renationalisation de la politique agricole", avec des conséquences très graves pour les agriculteurs de l'UE.